Éléments d'inspiration

La nature est dans mon travail une source inépuisable d'inspiration. Elle me permet de connecter avec ce qui me définis dans mon essence profonde tout en m'aidant à transcender mes ambiguïtés intérieures. J'ai ce besoin fréquent d'établir un lien de coeur et d'esprit avec elle lorsque j'ai mon appareil photo en main. Les images issue de la prise de vue et du traitement deviennent ensuite les allégories de ces rencontres uniques, comme j'ai eu la chance de vivre aujourd'hui...


Fleur du jardin

Fleur de champs

Plante grasse

Diamant d'eau sur une feuille

Graminé

Paysage champêtre

Éclair de lune

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Photoreportage à l'asinerie L'Âne-Gardien

Asinerie L'âne-gardien

L'asinerie l'âne-gardien est un magnifique élevage situé à Ste-Mélanie dans la région de Lanaudière. La propriétaire, Lucie Landry, m'avait invité à venir photographier un joli ânon de seulement deux jours et commandé une série de photos pour ses activités promotionnelles de 2016. Le contact avec ces animaux dans cet endroit champêtre fut un coup de coeur immédiat pour l'âme sensible que je suis.

L'âne est un animal tellement affectueux et généreux. Ses grandes oreilles sont à l'écoute de vos confidences et sa présence a assurément des vertus thérapeutiques. La douceur de ses yeux inspire le calme et la paix. La vie reprend son sens en sa présence.

Lucie Landry est une non seulement une passionnée mais une experte en ce qui concerne la gente asine. L'attention qu'elle porte à ses ânes va de pairs avec la mission de son élevage. Je vous invite à visiter son site web et aussi découvrir toute la gamme d'excellents produits de soin corporel biologiques qu'elle fabrique avec le lait d'ânesse.

En voici quelques photos!


Lucie Landry et ses ânes

Lucie Landry est ses ânes


Lucie Landry fait manger une pomme à son âne.

Partager une pomme, miam!


L'âne à l'écoute

Je suis là pour t'écouter, raconte-moi!


âne en attente de carresses

Ne m'oublie pas, j'aime les caresses moi aussi!


ânon de deux jours et san maman

J'ai seulement deux jours et j'ai plein de choses à découvrir.


ânon et samère près de lui

Maman demeure toujours près de moi.


amour maternel ânon et sa mère

L'amour maternel est puissant


âne et tendresse

Faire le plein de tendresse!


Pour une visite:


ASINERIE L’ÂNE GARDIEN

541, Rang Pied de la Montagne,
Sainte-Mélanie, Québec J0K 3A0

450-889-8456

info@anegardien.com

Votre contact : Lucie Landry

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Rétrospective de 2015

L'année 2015 fut l'aboutissement et la réalisation d'un rêve en terminant mes études au collège de photographie Marsan. L'arrivée de l'été fut ensuite synonyme de repos mais surtout de ressourcement. J'avais besoin de faire un bilan et d'assimiler toute les possibilités nouvelles devant moi. Ce n'est donc sûrement pas un hasard si mes sujets photographiques de 2015 furent principalement la nature et le paysage. J'ai aussi entrepris une merveilleuse formation complémentaire à l'automne pour approfondir la créativité, le sens de ma démarche artistique ainsi que le monde des expositions. 2016 se pointe et il est maintenant temps d'annoncer mes couleurs. Vous aurez la chance dans les prochaine semaines d'avoir des détails plus concrets sur mes différents services et projets. D'ici là je vous remercie de votre présence et de vos commentaires sur ce blog et sur ma page Facebook et vous souhaite une nouvelle année des plus stimulantes!


Mars: Expo finale et AEC en photographie.

Expo groupe 313 collège Marsan


Juin: Projet personnel "forêt canadienne"

Fougères bleues


Juillet: Souvenirs de vacance

Le calme

Chaise rouge devant le lac


Août: Visite aux Jardins de la maison Antoine-Lacombe

Crescendo

Réceptacle


Septembre: Balade automnale à St-Didace

Campagne

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Mon projet de portrait contemporain

Phalanges fatidiques

Lors de mon passage au collège Marsan, nous avions été initié au concept du portrait contemporain avec Jacynthe Gamet. Il nous fallait à travers ce cours, élaborer un concept pour mettre en valeur de manière personnelle, une oeuvre photographique et la présenter ensuite de manière originale à notre classe.

Pour ma part, la trame de fond de mon image provenait d'une photo représentant le lendemain d'un champs de bataille au début du siècle dernier. À partir de cette scène dramatique, j'y avais ensuite intégré mon auto-portait, mettant en avant plan ma main plus que prédominante, venant saisir le défunt en vue d'un dernier voyage.

L'évocation de la mort comme ultime issue à laquelle personne n'échappe était mon idée de départ. Comme un voyage dans le temps, je m'étais imprégné de ces époques de guerres outre-mer où la carte postale était souvent comme un texto antique, le seul lien de communication entre soldats et familles. Cette réalité de la mort avec l'idée de ne peut-être plus jamais revoir ses proches me plongea dans une sérieuse réflexion sur notre rapport avec l'annonce éventuelle de notre mort. Il y avait bien sûr la réalité de la tragique nouvelle qui m'interpellait car c'est bien ce que toutes familles, mères ou fiancées redoutaient d'apprendre en temps de guerre. Mais étrangement, je m'imaginais aussi être le témoin privilégié de l'annonce de ma propre mort, avec la réception d'une ultime carte postale postale à mon sujet.

À travers ma photographie contemporaine, j'avais justement eu le désir de susciter cette expérience de perception et réflexion chez les autres. J'avais donc conçu mon oeuvre photographique sous la forme d'une carte postale annonçant la mort d'un soldat tombé au combat. Les signatures de chacunes des cartes remises aux membres de ma classe comportaient le nom de mes collègues. Ils ou elles recevaient ainsi l'annonce de leur propre mort.

"M'extirper j'aurais voulu des phalanges fatidiques
et non choir en semence sur ces sols maléfiques.
Ma chair empourprée disparaîtra d'entre les fleurs,
qui porteront je l'espère, les fruits de jours meilleurs."

Au delà d'une vive réaction possible, suscitée lors d'une pareille annonce, mon but souhaité était d'amener le spectateur à se questionner sur ce qui comptait vraiment pour lui dans sa vie présente. J'espérais l'inciter à volontairement déclarer sa mort pour l'inutile et l'éphémère. Malgré la mort, les coquelicots présents évoquent justement cette possibilité du retour à sa vie, tout cela accompagné d'une lueur d'espoir qui s'élève au dessus de cette scène infernale et qui rappelle le sens sacré de notre existence que nous laissons trop souvent oublié, comme mort.


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Déconstruire le mental


modèle: Lisa-Marie Charron

Déconstruire le mental pour créer une ouverture

À travers le tourbillon urbain, le piège de la performance et la surcharge quotidienne qui envahit trop souvent notre tête, il m'était venu l'idée de concevoir une image qui exprimerait ce besoin d'évasion, de sortir de notre tête, de déconstruire le mental, de créer un espace où les pensées incessantes peuvent enfin s'envoler et faire place au calme.

N'hésitez-pas à laisser un petit commentaire!


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